• Qu'est ce qu'on risque à passer pour des fous
    La musique fera toujours de nous
    Des rêveurs
    Des rêveurs

    Chacun
    Son monde à part,
    Son refuge et son échappatoire
    Pour ailleurs,
    Un monde meilleur,

    {Refrain:}
    C'était en 1980
    Une génération qui n'attendait rien
    1980, d'où je viens
    Déjà en 1980
    Sans illusion, et sans lendemain
    1980, c'est pas la fin

    Qu'importe ceux qui ont servi d'exemples,
    Se rejoignent, se suivent et se ressemblent
    Les rêveurs
    Les rêveurs

    Faut bien
    Passer le temps,
    Les couleurs qu'on porte et les courants,
    Question d'heure,
    Non, rien ne se meurt,

    {au Refrain, x2}

    C'est pas la fin

    Redevenir gris
    1980


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  • S'il y a des mots
    Qui t'ont fait pleurer, mon ange,
    Et d'autres qui t'ont révoltée,
    S'il y a des idées quelquefois qui dérangent,
    J'en ai qui font danser.

    Te souviens tu d'un slow,
    Dix ans plus tôt,
    Déjà dix ans...
    Tu voulais m'épouser.
    Quelle drôle d'idée.
    Tu n'avais pas quinze ans.

    Tu voulais faire l'amour.
    Comment fait-on l'amour ?
    J'n'étais pas un géant.
    J'étais plutôt gêné.
    Quelle drôle d'idée !
    Danser c'est suffisant.

    Je n'sais plus comment finissait la chanson.
    J'ignorais qu'elle avait un nom.
    C'était la chanson du bonheur
    D'un vieil amant compositeur.

    J'aime bien les histoires
    Qui me font boire
    Sans désespoir,
    Les mélodies carrées
    Qui font danser,
    Qui font aimer la vie.
    J'aime aussi, sur le tard,
    Un piano bar
    Qui meurt d'ennui,
    Tous les disques oubliés
    Qui font penser
    Qu'on a déjà vieilli.

    Je n'sais plus comment finissait la chanson.
    J'ignorais qu'elle avait un nom.
    C'était la chanson du bonheur
    D'un vieil amant compositeur.

    Te souviens tu d'un slow,
    Dix ans plus tôt,
    Déjà dix ans...
    Tu voulais m'épouser.
    Quelle drôle d'idée.
    Tu n'avais pas quinze ans.

    Tu voulais faire l'amour.
    Comment fait-on l'amour ?
    J'n'étais pas un géant.
    J'étais plutôt gêné.
    Quelle drôle d'idée !
    Danser c'est suffisant.

    Te souviens tu d'un slow,
    Dix ans plus tôt,
    Déjà dix ans...
    Tu voulais m'épouser.
    Quelle drôle d'idée.
    Tu n'avais pas quinze ans.

    Tu voulais faire l'amour.
    Comment fait-on l'amour ?
    J'n'étais pas un géant.
    J'étais plutôt gêné.
    Quelle drôle d'idée !
    Danser c'est suffisant...
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  • Cette chanson-là, tu ne l'entendras pas tout de suite
    Mais soit certaine qu'elle te rattrapera
    Quel que soit l'endroit de ta fuite, tu la prendras pour toi
    Cette chanson, cette chanson, cette chanson-là

    Cette chanson-là remontera nos années passées
    Ce temps hélas qu'on ne retrouve pas
    Tu l'entendras en plein oubli, trois minutes dans ta vie
    Cette chanson, cette chanson, cette chanson-là

    Elle te racontera ma lettre, celle que je ne t'ai pas envoyée
    Parce qu'une lettre ne dit jamais
    Ce qu'on ressent comme on voudrait
    C'est pour ça que j'ai fais
    Cette chanson, cette chanson, cette chanson-là

    Cette chanson-là, elle fera naître une émotion
    Bonheur que tu n'as jamais ressenti
    Il y a une vie après ta vie, c'est tout ce qu'elle t'aura dit
    Cette chanson, cette chanson, cette chanson-là

    Cette chanson-là, tu ne la comprendras pas tout de suite
    Elle aura l'air de ne pas parler de toi
    Une histoire d'amour non écrite, une fin qui n'en est pas
    Cette chanson, cette chanson, cette chanson-là

    Une histoire d'amour non écrite, une fin qui n'en est pas
    Cette chanson, cette chanson, cette chanson-là {2x}

    Une histoire d'amour non écrite, une fin qui ne finit pas
    Cette chanson, cette chanson, cette chanson-là


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  • Je te promets le sel au baiser de ma bouche
    Je te promets le miel à ma main qui te touche
    Je te promets le ciel au dessus de ta couche
    Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces

    Je te promets la clé des secrets de mon âme
    Je te promets ma vie de mes rires à mes larmes
    Je te promets le feu à la place des armes
    Plus jamais des adieux rien que des au revoirs

    J'y crois comme à la terre, j'y crois comme au soleil
    J'y crois comme un enfant, comme on peut croire au ciel
    J'y crois comme à ta peau, à tes bras qui me serrent
    J'te promets une histoire différente des autres
    J'ai tant besoin d'y croire encore

    Je te promets des jours tout bleus comme tes veines
    Je te promets des nuits rouges comme tes rêves
    Des heures incandescentes et des minutes blanches
    Des secondes insouciantes au rythme de tes hanches

    Je te promets mes bras pour porter tes angoisses
    Je te promets mes mains pour que tu les embrasses
    Je te promets mes yeux si tu ne peux plus voir
    J'te promets d'être heureux si tu n'as plus d'espoir

    J'y crois comme à la terre, j'y crois comme au soleil
    J'y crois comme un enfant, comme on peut croire au ciel
    J'y crois comme à ta peau, à tes bras qui me serrent
    J'te promets une histoire différente des autres
    Si tu m'aides à y croire encore

    Et même si c'est pas vrai, si on te l'a trop fait
    Si les mots sont usés, comme écris à la craie
    On fait bien des grands feu en frottant des cailloux
    Peut-être avec le temps à la force d'y croire
    On peut juste essayer pour voir

    Et même si c'est pas vrai, même si je mens
    Si les mots sont usés, légers comme du vent
    Et même si notre histoire se termine au matin
    J'te promets un moment de fièvre et de douceur
    pas toute le nuit mais quelques heures ...

    Je te promets le sel au baiser de ma bouche
    Je te promets le miel à me main qui te touche
    Je te promets le ciel au dessus de ta couche
    Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces...


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  • La vie c'est pas un cadeau



    Laisse-moi te le dire



    Remplacer les larmes par les mots



    Et surtout bien les choisir,



    Tout est source de discordes



    Et quand bien même on vous sourit



    Je me dis que c'est pour mieux mordre



    Avec ces regards que l'on maudit ;



    Mettre de côté les souvenirs



    Qui font si mal, qui font vieillir



    Copie trop pâle sans avenir



    Moi, j'occulte sans réfléchir.



    Sans cesse résister, sans faillir



    Serrer les poings dans l'adversité, sans fléchir



    Certes, c'est facile de l'écrire



    Quand l'habitude est de fuir...



    A trop vouloir jouer



    Sans jamais être satisfaite



    D'un résultat mérité



    A trop vouloir être parfaite,



    La note est bien amère



    Avoir les épaules n'est plus suffisant



    Pour porter les erreurs d'hier



    Pour relever la tête au présent.



    Bailly Ludivine


    06/09/06


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