• Carla



    Bien plus qu'un prénom



    Un espoir de vie



    La meilleure des raisons



    D'enrayer les incendies,



    Par ta courageuse présence



    Tu insuffles un parfum d'harmonie



    Et donne ainsi la cadence


    D'un rythme adoucit.


    Ton empreinte sur l'avenir


    Est d'ors et déjà tracée,



    Tu es née pour faire retentir



    Le son de ta combativité.



    Tes parents, ta famille



    Se languissent de ton arrivée



    Petit être fragile,



    Et nous pour te protéger.



    Carla, merci de faire briller



    Le vert des yeux de ta maman



    Merci de bientôt exister



    Pour qu'elle te serre tendrement....

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    Bailly ludivine




    Le 21/07/04


    3 commentaires
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    Lorsque les souvenirs



    Caressent le temps qui passe



    Des rires qui font vieillir



    Mais dont jamais on ne se lasse

    <o:p> </o:p>

    Lorsque ses yeux perforent



    La candeur de la jeunesse



    Quand la douce tendresse



    Dans mon esprit s'endort

    <o:p> </o:p>

    Je prends la plume



    Pour en écrire les larmes



    D'une gomme infortune



    Pour effacer les drames,

    <o:p> </o:p>

    De ces rires affamés



    De joies et d'insouciance



    C'est à regret, les yeux liés



    Que je réclame délivrance.

    <o:p> </o:p>

    Je débâcle ainsi



    De ma propre folie



    Le sentiment d'avoir gâché



    Mes plus belles années.



    Le sentiment d'avoir aimé



    Sans jamais dire la vérité.

    <o:p> </o:p>

    Que ces mots infiltrent tes pensées



    Qu'elles méditent les années écoulées



    Certes le temps efface les mémoires



    De ma plus belle arme, j'en écris l'histoire.

    <o:p> </o:p>

    15/10/06



    Bailly ludivine


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  • Plaisir d'un soir
    Joie d'une nuit
    Envie de savoir,
    De vivre plus d'une vie.
    Curiosité imparfaite
    Amoureuse idéaliste
    Il semble que je ne suis faite
    Que d'idées utopistes.
    Alors pourquoi tous ces mots
    Tous ces mirages
    Fabriquer des idéaux
    N'était pas des plus sage !
    Mais je suis ainsi
    Faite d'amour et d'amitié
    Bien que tous soient partis
    Je reste digne d'avoir aimé.
    Alors, ne me découragez plus
    Faîtes preuve de souplesse,
    Ne me reprochez pas ce que je fus
    Ce n'était que de la tendresse !
    BAILLY Ludivine
    Le 20/04/01
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  • Une page de ma vie s'est tournée
    Les souvenirs envahissent ma tête
    Aucun doute ne pourrait subsister
    Notre amour est bien funeste.

    Certes, nos vies se séparent
    Mais notre passé reste lié
    Au commun de notre histoire
    Pour donner place à l'amitié.

    Je dois bien avouer
    La grande partie de mes défauts
    Une fierté souvent reprochée
    Que je traîne tel un fardeau.

    Mes colères aussi dévastatrices
    Tant elles étaient éphémères
    Ont engendré la hantise
    De mon côté brumaire.

    Je suis mélancolique
    De tout ce temps passé
    Mais resterai pudique
    Sur mes sentiments refoulés

    Je reprends ma fierté
    Te redonne ta liberté
    Je retrouve ma combativité
    Evanouie à tes côtés.

    A notre amour disparu
    A ces heures passées ensembles
    A ces disputes discontinues
    A nos fous rires qui nous ressemblent.

    A nos ébats, notre tendresse
    A nos soucis, à nos faiblesses,
    A notre humour, notre générosité
    Tout ce qui faisait que l'on s'aimait.

    Pour toi ces quelques lignes
    Dans l'espoir d'une amitié
    Je sais que tu seras digne
    D'être l'ami qui marchera à mes côtés.


    Bailly ludivine

    23/07/03

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  • La vie c'est pas un cadeau



    Laisse-moi te le dire



    Remplacer les larmes par les mots



    Et surtout bien les choisir,



    Tout est source de discordes



    Et quand bien même on vous sourit



    Je me dis que c'est pour mieux mordre



    Avec ces regards que l'on maudit ;



    Mettre de côté les souvenirs



    Qui font si mal, qui font vieillir



    Copie trop pâle sans avenir



    Moi, j'occulte sans réfléchir.



    Sans cesse résister, sans faillir



    Serrer les poings dans l'adversité, sans fléchir



    Certes, c'est facile de l'écrire



    Quand l'habitude est de fuir...



    A trop vouloir jouer



    Sans jamais être satisfaite



    D'un résultat mérité



    A trop vouloir être parfaite,



    La note est bien amère



    Avoir les épaules n'est plus suffisant



    Pour porter les erreurs d'hier



    Pour relever la tête au présent.



    Bailly Ludivine


    06/09/06


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