• C'est pas la peine de faire les fiers<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />
    On va pas jouer au plus fort
    Pas la peine de croiser le fer
    J'ai plus envie de faire d'effort
    Après tout ça, après nos guerres
    Qu'est-c'qu'il reste encore à défaire ?
    À quoi ça sert de tout gâcher ?
    Il faut juste apprendre à laisser...
    <o:p> </o:p>
    C'était notre histoire d'amour
    Même si on a changé de sentiments
    Si la mémoire te joue des tours
    Sache qu'on n'a pas perdu de temps...
    C'était notre histoire d'amour
    Nos chemins se séparent tout doucement
    Doucement
    <o:p> </o:p>
    Même si tu préfères me juger
    Si tu veux tout me reprocher
    En voulant me laisser à terre
    Tu te jetteras la première pierre
    Avec la peine vient la rancœur
    Avec la haine viendra l'aigreur
    Cette sécheresse du cœur
    C'est à ce jeu que tout l'monde meurt...
    <o:p> </o:p>
    C'était notre histoire d'amour
    Même si on a changé de sentiments
    Si la mémoire te joue des tours
    Sache qu'on n'a pas perdu de temps...
    C'était notre histoire d'amour
    Nos chemins se séparent tout doucement
    Tout doucement
    <o:p> </o:p>
    Tout c'que je sais c'est qu'on s'aimait
    Mais même l'amour perd sa raison
    Notre seul tort, c'est d'oublier
    Qu'on a partagé tant de bon
    Il ne faut pas s'laisser aller
    À tous nos accès de colère
    Promis, il ne faudra jamais
    Rester amers
    <o:p> </o:p>
    C'était notre histoire d'amour
    Même si on a changé de sentiments
    Si la mémoire te joue des tours
    Sache qu'on n'a pas perdu de temps...
    C'était notre histoire d'amour
    Nos chemins se séparent tout doucement
    Tout doucement
    C'était notre histoire d'amour
    <o:p> </o:p>
    C'était notre histoire d'amour

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  •  

    Je sens qu'on s'aime moins
    Peut-être même qu'on s'aime plus
    Je dis ça parce qu'on ne se dit rien
    Qu'on n'en discute même plus
    On se raccroche à ce qu'on peut
    Pour croire que l'on existe encore un peu

    C'est quoi, c'est l'habitude
    C'est quoi, ça vient de moi
    Est-ce que l'on s'aime encore
    Tu le dirais, dis-moi

    C'est quoi une lassitude
    C'est qui, quel est son nom
    Si on ne s'aimait plus
    Tu le dirais, sinon
    Tu le dirais, dis pas

    J'ai peur de nos manques d'efforts
    Pour supporter le quotidien
    Parce qu'on se connaît par cœur
    Et pire, on se connaît trop bien
    Pour quelques instants de bonheur
    On préfère des plaisirs faciles, ailleurs

    C'est quoi, c'est l'habitude
    C'est quoi, ça vient de moi
    Est-ce que l'on s'aime encore
    Tu le dirais, dis-moi

    C'est quoi une lassitude
    C'est qui, quel est son nom
    Si on ne s'aimait plus
    Tu le dirais, sinon

    C'est ça l'incertitude
    Savoir à qui tu penses
    Qui me ronge et me tue
    Si c'est perdu d'avance

    Tu le dirais, dis-moi
    Tu le dirais, dis-moi
    Tu le dirais, dis-moi
    Tu le dirais, dis pas

    C'est quoi, c'est l'habitude
    C'est quoi, ça vient de moi
    Est-ce que l'on s'aime encore
    Tu le dirais, dis-moi

    C'est quoi une lassitude
    C'est qui, quel est son nom
    Si on ne s'aimait plus
    Tu le dirais, sinon

    Tu le dirais, dis pas
    Tu le dirais, dis-moi
    Tu le dirais, dis-moi, oh...
    Tu le dirais, dis-moi
    Tu le dirais, dis-moi, oh...
    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    I. BOULAY


    2 commentaires
  • On ne les prend pas au sérieux
    On les traite de fous
    Ceux qui, au fond des yeux
    Se regardent comme nous...

    Plus facile d'entrer dans leur jeu
    Quand entre chien et loup
    Comme des enfants fiévreux
    Ils brûlent de partout...

    Ceux qui parlent aux étoiles
    Comme on prie le bon Dieu
    Comme on tisse une toile
    Pour s'élever jusqu'aux cieux...
    Ceux qui tutoient les anges
    Quand leur coeur bat pour deux
    Et reçoivent en échange
    De quoi rêver un peu...

    Ils ont l'avenir devant eux
    La chance autour du cou
    Les rend plus lumineux
    Ceux qui s'aiment comme nous...

    On peut les juger comme on veut
    Les traîner dans la boue
    Même couverts de bleus
    Ils resteront debout...
    Ceux qui parlent aux étoiles
    Comme on prie le bon Dieu
    Comme on tisse une toile
    Pour s'élever jusqu'aux cieux...
    Ceux qui tutoient les anges
    Quand leur coeur bat pour deux
    Et reçoivent en échange
    De quoi rêver un peu...

    Ceux qui parlent aux étoiles
    Comme on prie le bon Dieu
    Comme on tisse une toile
    Pour s'élever jusqu'aux cieux...
    Ceux qui tutoient les anges
    Quand leur coeur bat pour deux
    Et reçoivent en échange
    De quoi rêver un peu...
    Et reçoivent en échange
    De quoi rêver un peu...
    Et reçoivent en échange
    De quoi rêver un peu...


     


    J. HALLYDAY


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  • Cette lettre peut vous surprendre
    Mais sait-on ? Peut-être pas
    Quelques braises échappées des cendres
    D'un amour si loin déjà

    Vous en souvenez-vous?
    Nous étions fous de nous

    Nos raisons renoncent, mais pas nos mémoires
    Tendres adolescences, j'y pense et j'y repense
    Tombe mon soir et je voudrais vous revoir

    Nous vivions du temps, de son air
    Arrogants comme sont les amants
    Nous avions l'orgueil ordinaire
    Du "nous deux c'est différent"
    Tout nous semblait normal, nos vies seraient un bal
    Les jolies danses sont rares, on l'apprend plus tard
    Le temps sur nos visages a soumis tous les orages
    Je voudrais vous revoir et pas par hasard

    Sûr il y aurait des fantômes et des décors à réveiller
    Qui sont vos rois, vos royaumes ? mais je ne veux que savoir
    Même si c'est dérisoire, juste savoir
    Avons-nous bien vécu la même histoire ?

    L'âge est un dernier long voyage
    Un quai de gare et l'on s'en va
    Il ne faut prendre en ses bagages
    Que ce qui vraiment compta
    Et se dire merci
    De ces perles de vie
    Il est certaines
    Blessures au goût de
    Victoire
    Et vos gestes, y reboire
    Tes parfums, ton regard
    Ce doux miroir
    Où je voudrais nous revoir
    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

     JJ GOLDMAN


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  • Que jamais on ne me délivre
    Des liens de mon enfance
    Que jamais je n'ouvre le livre
    Où je comprendrai mes souffrances
    Que jamais je ne puisse paraître
    Ce que je ne suis pas
    Que je sois telle qu'on m'a faite
    Et non telle qu'on me voit

    Que je ne me forge pas des armes
    Pour endurcir mon coeur
    Que je ne m'invente pas des larmes
    Sous l'oeil des projecteurs
    Que je ne devienne jamais de glace
    Devant le vie qui saigne
    Que je reste toujours à ma place
    Parmi les gens que j'aime

    C'est tout ce que je demande
    Vivre où l'amour peut m'attendre
    En laissant pleurer mon coeur
    Par le sang de mes douleurs
    En restant seulement moi-même
    Humaine, humaine

    Que jamais ne vienne le jour
    Où le temps me mangera
    Où j'écrirai mes amours
    Sur des feuilles d'agenda
    Que tous les diamants du monde
    Dorment dans leurs écrins
    Que mes joies les plus profondes
    Me viennent de trois fois rien

    Que jamais je ne sache compter
    Plus loin que jusqu'à deux
    Sans chercher à monter
    Sur la colline des dieux
    Que sur les chemins du doute
    J'avance mes rêves au cou
    En rencontrant sur ma route
    Des gens semblables à vous
    C'est tout ce que je demande
    Vivre où l'amour peut m'attendre
    En laissant pleurer mon coeur
    Par le sang de mes douleurs
    En restant seulement moi-même
    Humaine, humaine<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />
    <o:p> </o:p>

    H. SEGARA


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