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Par mel.ludy le 25 Septembre 2006 à 20:59
Il suffirait de presque rien
Peut-être dix années de moins
Pour que je te dise "Je t'aime"
Que je te prenne par la main
Pour t'emmener à Saint-Germain
T'offrir un autre café-crème
Mais pourquoi faire du cinéma
Fillette allons regarde-moi
Et vois les rides qui nous séparent
A quoi bon jouer la comédie
Du vieil amant qui rajeunit
Toi même ferais semblant d'y croire
Vraiment de quoi aurions-nous l'air
J'entends déjà les commentaires
"Elle est jolie, comment peut-il encore lui plaire
Elle au printemps, lui en hiver"
Il suffirait de presque rien
Pourtant personne tu le sais bien
Ne repasse par sa jeunesse
Ne sois pas stupide et comprends
Si j'avais comme toi vingt ans
Je te couvrirais de promesses
Allons bon voilà ton sourire
Qui tourne à l'eau et qui chavire
Je ne veux pas que tu sois triste
Imagine ta vie demain
Tout à côté d'un clown en train
De faire son dernier tour de piste
Vraiment de quoi aurais-tu l'air
J'entends déjà les commentaires
"Elle est jolie, comment peut-il encore lui plaire
Elle au printemps, lui en hiver"
C'est un autre que moi demain
Qui t'emmènera à St-Germain
Prendre le premier café crème
Il suffisait de presque rien
Peut-être dix années de moins
Pour que je te dise "Je t'aime"
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Par mel.ludy le 21 Septembre 2006 à 10:43
Qu'est ce qu'on risque à passer pour des fous
La musique fera toujours de nous
Des rêveurs
Des rêveurs
Chacun
Son monde à part,
Son refuge et son échappatoire
Pour ailleurs,
Un monde meilleur,
{Refrain:}
C'était en 1980
Une génération qui n'attendait rien
1980, d'où je viens
Déjà en 1980
Sans illusion, et sans lendemain
1980, c'est pas la fin
Qu'importe ceux qui ont servi d'exemples,
Se rejoignent, se suivent et se ressemblent
Les rêveurs
Les rêveurs
Faut bien
Passer le temps,
Les couleurs qu'on porte et les courants,
Question d'heure,
Non, rien ne se meurt,
{au Refrain, x2}
C'est pas la fin
Redevenir gris
1980
4 commentaires -
Par mel.ludy le 14 Septembre 2006 à 08:15S'il y a des mots
Qui t'ont fait pleurer, mon ange,
Et d'autres qui t'ont révoltée,
S'il y a des idées quelquefois qui dérangent,
J'en ai qui font danser.
Te souviens tu d'un slow,
Dix ans plus tôt,
Déjà dix ans...
Tu voulais m'épouser.
Quelle drôle d'idée.
Tu n'avais pas quinze ans.
Tu voulais faire l'amour.
Comment fait-on l'amour ?
J'n'étais pas un géant.
J'étais plutôt gêné.
Quelle drôle d'idée !
Danser c'est suffisant.
Je n'sais plus comment finissait la chanson.
J'ignorais qu'elle avait un nom.
C'était la chanson du bonheur
D'un vieil amant compositeur.
J'aime bien les histoires
Qui me font boire
Sans désespoir,
Les mélodies carrées
Qui font danser,
Qui font aimer la vie.
J'aime aussi, sur le tard,
Un piano bar
Qui meurt d'ennui,
Tous les disques oubliés
Qui font penser
Qu'on a déjà vieilli.
Je n'sais plus comment finissait la chanson.
J'ignorais qu'elle avait un nom.
C'était la chanson du bonheur
D'un vieil amant compositeur.
Te souviens tu d'un slow,
Dix ans plus tôt,
Déjà dix ans...
Tu voulais m'épouser.
Quelle drôle d'idée.
Tu n'avais pas quinze ans.
Tu voulais faire l'amour.
Comment fait-on l'amour ?
J'n'étais pas un géant.
J'étais plutôt gêné.
Quelle drôle d'idée !
Danser c'est suffisant.
Te souviens tu d'un slow,
Dix ans plus tôt,
Déjà dix ans...
Tu voulais m'épouser.
Quelle drôle d'idée.
Tu n'avais pas quinze ans.
Tu voulais faire l'amour.
Comment fait-on l'amour ?
J'n'étais pas un géant.
J'étais plutôt gêné.
Quelle drôle d'idée !
Danser c'est suffisant...<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />
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Par mel.ludy le 13 Septembre 2006 à 10:19
Cette chanson-là, tu ne l'entendras pas tout de suite
Mais soit certaine qu'elle te rattrapera
Quel que soit l'endroit de ta fuite, tu la prendras pour toi
Cette chanson, cette chanson, cette chanson-là
Cette chanson-là remontera nos années passées
Ce temps hélas qu'on ne retrouve pas
Tu l'entendras en plein oubli, trois minutes dans ta vie
Cette chanson, cette chanson, cette chanson-là
Elle te racontera ma lettre, celle que je ne t'ai pas envoyée
Parce qu'une lettre ne dit jamais
Ce qu'on ressent comme on voudrait
C'est pour ça que j'ai fais
Cette chanson, cette chanson, cette chanson-là
Cette chanson-là, elle fera naître une émotion
Bonheur que tu n'as jamais ressenti
Il y a une vie après ta vie, c'est tout ce qu'elle t'aura dit
Cette chanson, cette chanson, cette chanson-là
Cette chanson-là, tu ne la comprendras pas tout de suite
Elle aura l'air de ne pas parler de toi
Une histoire d'amour non écrite, une fin qui n'en est pas
Cette chanson, cette chanson, cette chanson-là
Une histoire d'amour non écrite, une fin qui n'en est pas
Cette chanson, cette chanson, cette chanson-là {2x}
Une histoire d'amour non écrite, une fin qui ne finit pas
Cette chanson, cette chanson, cette chanson-là
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Par mel.ludy le 7 Septembre 2006 à 07:25
Je te promets le sel au baiser de ma bouche
Je te promets le miel à ma main qui te touche
Je te promets le ciel au dessus de ta couche
Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces
Je te promets la clé des secrets de mon âme
Je te promets ma vie de mes rires à mes larmes
Je te promets le feu à la place des armes
Plus jamais des adieux rien que des au revoirs
J'y crois comme à la terre, j'y crois comme au soleil
J'y crois comme un enfant, comme on peut croire au ciel
J'y crois comme à ta peau, à tes bras qui me serrent
J'te promets une histoire différente des autres
J'ai tant besoin d'y croire encore
Je te promets des jours tout bleus comme tes veines
Je te promets des nuits rouges comme tes rêves
Des heures incandescentes et des minutes blanches
Des secondes insouciantes au rythme de tes hanches
Je te promets mes bras pour porter tes angoisses
Je te promets mes mains pour que tu les embrasses
Je te promets mes yeux si tu ne peux plus voir
J'te promets d'être heureux si tu n'as plus d'espoir
J'y crois comme à la terre, j'y crois comme au soleil
J'y crois comme un enfant, comme on peut croire au ciel
J'y crois comme à ta peau, à tes bras qui me serrent
J'te promets une histoire différente des autres
Si tu m'aides à y croire encore
Et même si c'est pas vrai, si on te l'a trop fait
Si les mots sont usés, comme écris à la craie
On fait bien des grands feu en frottant des cailloux
Peut-être avec le temps à la force d'y croire
On peut juste essayer pour voir
Et même si c'est pas vrai, même si je mens
Si les mots sont usés, légers comme du vent
Et même si notre histoire se termine au matin
J'te promets un moment de fièvre et de douceur
pas toute le nuit mais quelques heures ...
Je te promets le sel au baiser de ma bouche
Je te promets le miel à me main qui te touche
Je te promets le ciel au dessus de ta couche
Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces...
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