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Une idée intéressante et une action simple...
Le 1er février 2007, dans toute la France, vous pouvez participer à une grande mobilisation des citoyens contre les changements climatiques !
L'Alliance pour la Planète (groupement national d'associations environnementales) lance un appel simple à tous les citoyens, 5 minutes de répit pour la planète : Tout le monde éteint ses appareils en veille et ses lumières le 1er février 2007 entre 19h 55 et 20h 00.
Il ne s'agit pas d'économiser 5 minutes d'électricité uniquement ce jour-là, mais d'attirer l'attention des citoyens, des médias et des décideurs sur le gaspillage d'énergie et l'urgence de passer à l'action ! Cinq minutes de répit pour la planète, ça ne prend pas longtemps, ça ne coute rien, et ça peut montrer aux candidats à la Présidentielle que le changement climatique est un sujet qui doit peser dans le débat politique.
Pourquoi le 1er février ? Ce jour là sortira, à Paris, le nouveau rapport du groupe d'experts climatiques des Nations Unies. Cet évènement aura lieu en France : il ne faut pas laisser passer cette occasion de braquer les projecteurs sur l'urgence de la situation climatique mondiale.
Contact/ information : Cyrielle, Les Amis de la Terre : 01 48 51 18 95
6 commentaires -
De ses sourires complices,
De ces fous rires sans retenue
Il n'y a rien que je maudisse
Sinon le fait que tu n'es plus !
Je garde en moi ces souvenirs
Aussi précieux que ta jeunesse
Mais c'est la pierre que je vois vieillir
Et c'est nos cœurs dans la détresse....
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>Ludivine bailly
29/01/07
2 commentaires -
J'ai le souvenir d'une nuit,
Une nuit de mon enfance
Toute pareille à celle-ci,
Une longue nuit de silence.
Moi qui ne me souviens jamais
Du passé qui m'importune,
C'est drôle, j'ai gardé le secret
De cette longue nuit sans lune.
J'ai le souvenir d'une nuit,
D'une nuit de mon enfance,
Toute pareille à celle-ci,
Une longue nuit de silence.
Soudain, je me suis réveillée.
Il y avait une présence.
Soudain, je me suis réveillée
Dans une demi somnolence.
C'était au dehors. On parlait,
A voix basse, comme un murmure,
Comme un sanglot étouffé,
Au dehors, j' en étais sûre.
J' ai le souvenir d'une nuit,
D'une nuit de mon enfance
Toute pareille à celle-ci,
Une longue nuit de silence.
J'allais, à demi éveillée,
Guidée par l'étrange murmure.
J'allais, à demi éveillée,
Suivant une allée obscure.
Il y eut, je me le rappelle,
Surgissant de l'allée obscure,
Il y eut un bruissement d'ailes
Là, tout contre ma figure.
C'était au cœur de la nuit.
C'était une forêt profonde.
C'était là, comme cette nuit,
Un bruit sourd venant d'outre-tombe.
Qui es-tu pour me revenir ?
Quel est donc le mal qui t'enchaîne ?
Qui es-tu pour me revenir
Et veux-tu que, vers toi, je vienne ?
S' il le faut, j'irais encore
Tant et tant de nuits profondes,
Sans jamais revoir l'aurore,
Sans jamais revoir le monde
Pour qu'enfin tu puisses dormir,
Pour qu'enfin ton cœur se repose,
Que tu finisses de mourir
Sous tes paupières déjà closes.
J'ai le souvenir d'une nuit,
Une nuit de mon enfance,
Toute pareille à celle-ci
Froide et lourde de silence...
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