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Pas à pas dans l'absence de toi
Oublier d'ouvrir les bras,
En avançant sans toi
Sans tenir compte de nos choix,
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>Pas à pas dans le silence établi
Apprendre à refaire sa vie
Dans cette maison, murs gris,
Oublier ce qui nous a unis,
<o:p> </o:p>Faire abstraction des doutes
De ces pensées amères
Reprendre chacun la route
Se construire un univers,
<o:p> </o:p>Pas à pas découvrir
Que l'Amour n'est pas là
Réapprendre à sourire
A celui qui aime déjà...
<o:p> </o:p><o:p> </o:p>25/08/06
Bailly Ludivine
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"Le sentiment n'est peut être qu'une illusion du désir, mais bienheureux qui la partage."
M.Chapelan
5 commentaires -
On a le droit
Quand personne ne nous voit
De pleurer en silence
De regretter son enfance
De se laisser aller en regardant tomber la pluie
On a le droit
Quand personne nous croit
De sortir sa violence
Tous ces mots qu'on dit pas mais qu'on pense
De parler à Dieu
De parler à qui on veut
On a tous le droit
D'aimer sa vie ou pas
De faire sa route
De faire son choix
On a tous raison
De se poser des questions
D'oser dire non
On a tous le droit
D'aimer sa vie ou pas
De faire sa route de faire son choix
On a tous une chance
C'est pas perdu d'avance
La différence
On a le droit
Quand rien plus rien ne va
De chercher son étoile
De jeter l'encre de son journal
De changer sa vie
De quitter l'ennui
Et puis
On a le droit
Et qui nous en empêchera
De rêver d'un monde un peu moins laid
De rêver d'un monde où on pourrait
Rien qu'une fois
Tous vous et moi
On a tous le droit
D'aimer sa vie ou pas
De faire sa route
De faire son choix
On a tous raison
De se poser des questions
D'oser dire non
On a tous le droit
D'aimer sa vie ou pas
De faire sa route de faire son choix
On a tous une chance
C'est pas perdu d'avance
La différenceL.FOLY
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Lorsque ses mots traversent
Les parois de mon cœur
Lorsque ses flèches transpercent
Comme une intense douleur,
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>Quand ses lèvres ne sourient
Que mes joues perdent couleur
Que ses yeux fusillent
Les élans de douceur,
<o:p> </o:p>Lorsque les habitudes
Deviennent souvenirs
Lorsque la solitude
S'installe sans dépérir,
<o:p> </o:p>Que ses caresses anonymes
De tant de désir
Des gestes que l'on opprime
Des rêves à retenir ;
<o:p> </o:p>Lorsque mes mots se font silence
Que mon cœur saigne tout bas
Que disparaît la romance
Qui pourrait naître en moi
<o:p> </o:p>Dés lors...je pleure...
<o:p> </o:p>28/07/06
Bailly ludivine
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