• On ne les prend pas au sérieux
    On les traite de fous
    Ceux qui, au fond des yeux
    Se regardent comme nous...

    Plus facile d'entrer dans leur jeu
    Quand entre chien et loup
    Comme des enfants fiévreux
    Ils brûlent de partout...

    Ceux qui parlent aux étoiles
    Comme on prie le bon Dieu
    Comme on tisse une toile
    Pour s'élever jusqu'aux cieux...
    Ceux qui tutoient les anges
    Quand leur coeur bat pour deux
    Et reçoivent en échange
    De quoi rêver un peu...

    Ils ont l'avenir devant eux
    La chance autour du cou
    Les rend plus lumineux
    Ceux qui s'aiment comme nous...

    On peut les juger comme on veut
    Les traîner dans la boue
    Même couverts de bleus
    Ils resteront debout...
    Ceux qui parlent aux étoiles
    Comme on prie le bon Dieu
    Comme on tisse une toile
    Pour s'élever jusqu'aux cieux...
    Ceux qui tutoient les anges
    Quand leur coeur bat pour deux
    Et reçoivent en échange
    De quoi rêver un peu...

    Ceux qui parlent aux étoiles
    Comme on prie le bon Dieu
    Comme on tisse une toile
    Pour s'élever jusqu'aux cieux...
    Ceux qui tutoient les anges
    Quand leur coeur bat pour deux
    Et reçoivent en échange
    De quoi rêver un peu...
    Et reçoivent en échange
    De quoi rêver un peu...
    Et reçoivent en échange
    De quoi rêver un peu...


     


    J. HALLYDAY


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  • Cette lettre peut vous surprendre
    Mais sait-on ? Peut-être pas
    Quelques braises échappées des cendres
    D'un amour si loin déjà

    Vous en souvenez-vous?
    Nous étions fous de nous

    Nos raisons renoncent, mais pas nos mémoires
    Tendres adolescences, j'y pense et j'y repense
    Tombe mon soir et je voudrais vous revoir

    Nous vivions du temps, de son air
    Arrogants comme sont les amants
    Nous avions l'orgueil ordinaire
    Du "nous deux c'est différent"
    Tout nous semblait normal, nos vies seraient un bal
    Les jolies danses sont rares, on l'apprend plus tard
    Le temps sur nos visages a soumis tous les orages
    Je voudrais vous revoir et pas par hasard

    Sûr il y aurait des fantômes et des décors à réveiller
    Qui sont vos rois, vos royaumes ? mais je ne veux que savoir
    Même si c'est dérisoire, juste savoir
    Avons-nous bien vécu la même histoire ?

    L'âge est un dernier long voyage
    Un quai de gare et l'on s'en va
    Il ne faut prendre en ses bagages
    Que ce qui vraiment compta
    Et se dire merci
    De ces perles de vie
    Il est certaines
    Blessures au goût de
    Victoire
    Et vos gestes, y reboire
    Tes parfums, ton regard
    Ce doux miroir
    Où je voudrais nous revoir
    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

     JJ GOLDMAN


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  • Voilà mon chien.....c'est fini....je te garde dans mon coeur...

    10 commentaires
  • Que jamais on ne me délivre
    Des liens de mon enfance
    Que jamais je n'ouvre le livre
    Où je comprendrai mes souffrances
    Que jamais je ne puisse paraître
    Ce que je ne suis pas
    Que je sois telle qu'on m'a faite
    Et non telle qu'on me voit

    Que je ne me forge pas des armes
    Pour endurcir mon coeur
    Que je ne m'invente pas des larmes
    Sous l'oeil des projecteurs
    Que je ne devienne jamais de glace
    Devant le vie qui saigne
    Que je reste toujours à ma place
    Parmi les gens que j'aime

    C'est tout ce que je demande
    Vivre où l'amour peut m'attendre
    En laissant pleurer mon coeur
    Par le sang de mes douleurs
    En restant seulement moi-même
    Humaine, humaine

    Que jamais ne vienne le jour
    Où le temps me mangera
    Où j'écrirai mes amours
    Sur des feuilles d'agenda
    Que tous les diamants du monde
    Dorment dans leurs écrins
    Que mes joies les plus profondes
    Me viennent de trois fois rien

    Que jamais je ne sache compter
    Plus loin que jusqu'à deux
    Sans chercher à monter
    Sur la colline des dieux
    Que sur les chemins du doute
    J'avance mes rêves au cou
    En rencontrant sur ma route
    Des gens semblables à vous
    C'est tout ce que je demande
    Vivre où l'amour peut m'attendre
    En laissant pleurer mon coeur
    Par le sang de mes douleurs
    En restant seulement moi-même
    Humaine, humaine<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />
    <o:p> </o:p>

    H. SEGARA


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  • La tristesse mélancolique


    S'accroît pour ne rien laisser paraître


    En toute simplicité revendique


    Le droit de rester discrète.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    Offrir naturellement les mots


    Qu'ils transportent leur chaleur


    Pour guérir de leur couleur


    Le souffle Lamento.

    <o:p> </o:p>

    Que leurs rimes sonnent


    Dans le corps et l'esprit


    Que leurs rythmes donnent


    La cadence réfléchie.

    <o:p> </o:p>

    Que le cheminement de la poésie


    Ebauche linéament les contours de la vie


    Ainsi vilenies et autres ...abolies


    Donnant réflexions aux félonies.

    <o:p> </o:p>

    Qu'elle résonne telle une leçon


    La morale à retenir


    Qu'elle inspire les chansons


    Et jamais ne vieillir....

    <o:p> </o:p><o:p> </o:p>

    03/07/06


    Bailly ludivine


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